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ALI ENCAISSE DANS LE BABA |
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La VIERGE SOUILLEE |
« Messerghine » mise aux enchères avec plus de 40 milliards de centimes
L’agence de « Yougoslavie » a mis la banque extérieure d’Algérie à Oran , dont le nom est lié au scandale « BCIA Bank », l’unité de production des eaux minérales « Messerghine » à la vente aux enchères avec une valeur initiale dépassant les 40 milliards de centimes.
La vente aux enchères est prévue pour le 26 avril en cours au niveau du tribunal Ighemourassen en application à l’ordonnance du président de la cour d’Essenia du 22 janvier 2007, suite aux problèmes qu’elle rencontre depuis sa création en 2000.
L’unité des eaux minérales « Messerghine » sise à la commune portant le même nom à l’Ouest d’Oran, a connu plusieurs contraintes qui se sont répercutées négativement sur sa situation financière et donc sur son pouvoir à rembourser ses prêts bancaires obtenus par les frères Laâraf, propriétaires de la SARL (Société à Responsabilité Limitée)- Bouguelaz.
La société a été au début victime d’une polémique médiatique sur la qualité des eaux qu’elle commercialise et d’être dépourvue de composants pour la classer comme une vraie eau minérale, mais elle rentre dans la case des eaux des sources.
Dans un autre sillage, la société était tombée dans un conflit commercial entre les actionnaires et l’homme d’affaire Koninev en octobre 2000 la sommant ainsi à arrêter sa production pour une période, en plus d’une plainte judiciaire au niveau de la cour d’Essenia pour réquisition des équipements de l’unité au profit de l’homme d’affaire précité.
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Par : D. B / Traduit par H. Benyahia
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Indécision des élus FLN sur le choix du prochain maire d’Oran et une AGE qui tarde à venir
La plus grande commune d’Algérie dans le brouillard
L’ultimatum de 24 heures adressé par les élus au maire d’Oran pour la tenue d’une assemblée n’ayant pas reçu de réponse, les signataires de la motion de retrait de confiance attendent la décision du wali qui sera prise, avant la fin de cette semaine, selon Brahmia Smaïl, un élu APC.
Ces élus qui confirment le délai précisent: «Ce retard est dû au déplacement du wali sur Alger pour être présent à la cérémonie d’investiture du président de la République. Nous attendons sa décision quant à la tenue d’une assemblée devant permettre l’installation du nouveau maire.»Un report de décision qui semble arranger les rapports de forces engagés pour la désignation du nouveau maire. En effet, certaines rumeurs font état de dissensions et de défections parmi les 27 signataires de la motion de retrait de confiance. Pour rappel, et comme le stipule le Code communal en vigueur, le nouveau maire doit être issu de la formation politique ayant eu la majorité aux dernières élections communales. Pour ce qui est de la mairie d’Oran, le FLN qui était majoritaire aux législatives avait remporté 16 voix, suivi par le Parti des travailleurs avec 6 voix, des deux formations FNA et HMS avec 4 voix chacun, et en dernière position du RND avec 3 voix. Un élu FLN a confié: «Les membres du Front de( libération nationale) veulent tous se porter candidat. Une course effrénée pour hériter du fauteuil du maire est lancée.» Cette course vient confirmer le message adressé par Mohammed Khelfi, coordinateur du parti du Front de libération nationale aux signataires partisans les sommant de ne pas «privilégier les intérêts personnels au dépend des intérêts du parti», non sans condamner la motion de retrait de confiance. Cela étant, les signataires soutiennent que «la décision de retrait de confiance au maire Benkada Sadek est irrévocable». «Pour nous, dira un élu, le dossier est clos, et l’ensemble des élus signataires de la motion sont d’accord là-dessus. Reste à trouver un consensus sur le candidat qui le remplacera.» Par ailleurs on apprendra que «les bureaux restent toujours fermés à l’Hôtel de ville d’Oran. Même le maire ne fait que de brèves apparitions durant la journée». Ceci dit, l’atmosphère qui règne à l’Hôtel de ville ne permet nullement une gestion sereine des affaires courantes de la Commune. De nombreuses lignes téléphoniques coupées, il est difficile, voire impossible de gérer ces affaires dans de telles conditions.Selon de nombreux citoyens, «il sera difficile à l’Assemblée populaire communale de retrouver une crédibilité, par ailleurs déjà décriée». Ces mêmes citoyens de la plus importante commune du pays sont unanimes pour dire que «nous recherchons des élus qui veulent véritablement travailler pour et avec le citoyen au lieu de privilégier les intérêts personnels». La fin de semaine sera sans conteste chargée d’évènements, et la nomination d’un nouveau maire parmi les prétendants dont les noms circulent dans les coulisses risque de faire prolonger le feuilleton. Car rien ne présage d’un consensus autour du futur candidat. |
Oran, Aujourd’hui
le 26/04/2009
Lots de terrain et lots d’histoires....
A Oran, la semaine dernière, deux responsables de l’administration locale, le secrétaire général de l’APC, et le directeur de la réglementation de la wilaya, ont été suspendus de leur fonction.
Ils seraient concernés, dit-on, par des poursuites judiciaires visant plusieurs personnes, impliquées dans une vieille affaire de foncier. Une affaire connue des oranais, sous le nom de «la coopérative immobilière des Frères Saâdi». On se souvient en effet, des scandales, des querelles et des remous, qui agitaient la scène locale, autour de l’occupation de ces vastes parcelles de terrain, situées le long du troisième boulevard périphérique, juste en face de l’Ecole des Douanes ?
En ces temps, que l’on croit révolus, la rente foncière locale se distribuait, au gré des pressions et des intérêts de clans, parfois habilement dissimulés, derrière des façades para-politiques, utiles aux tractations avec le pouvoir local. Qui, parmi les oranais modestes, peut oublier la vague de prédation foncière, organisée à l’époque à travers les fameuses coopératives immobilières, qui avaient permis à certaines «personnalités» de vendre et revendre, des lots de terrain par dizaines ? Bien avant l’époque tant décriée, de l’ancien Wali Fkih Bachir, le patrimoine foncier de la ville, était déjà soumis à un hallucinant partage, sans le moindre regard, sur les règles d’aménagement urbain, devant préserver des sites sensibles.
Les façades et les ronds-points, sur les nouveaux boulevards autour de la ville, furent livrés aux constructions hideuses et anarchiques, de ces «villas avec locaux» marquant l’ère du «chacun pour soi,» dans une course aux gains, effrénée.
Des douars entiers furent ainsi construits, de Fernand-ville à Belgaïd, sans le moindre souci pour l’alignement élémentaire, et l’aménagement des voiries. Le règne des fosses septiques, et des allées boueuses et tortueuses, séparant des constructions coûteuses, reste encore ici et là le signe, d’une dramatique absence d’un Etat contrôleur et régulateur, du cadre urbain collectif. Cette indifférence, nourrie sans doute, par la complicité franche ou inconsciente, se retrouve encore inscrite, au fronton des édifices officiels, détournés de leur vocation.
Si l’ancienne coopérative des frères Saadi, anime encore l’actualité, par la convocation de responsables locaux, à la barre des tribunaux. C’est surtout en raison des convoitises démesurées, qui amplifiaient les conflits et les pressions sociales, sur un espace urbain important.
Les guerres internes, et les batailles avec les riverains, habitant la cité voisine, ont permis à certains de s’en « tirer à bon compte », tandis que d’autres se démènent encore, pour faire admettre une certaine «légalité» de cette ancienne opération foncière, à inscrire parmi tant d’autres...
Mais les temps ont changé. L’impunité absolue était hier garantie, par un système globalement ancré, dans les pratiques de prédation frauduleuses. Aujourd’hui, les sources sont taries, et les risques sont plus grands, face à la rareté d’un foncier urbain, qui ne suffit même plus aux besoins de la ville.
L’une des dernières coopératives, discrètement «constituée» par un ancien wali, à l’entrée de Canastel, permettra à certains d’assurer leur retraite paisible... Le début du quatrième périphérique, aura droit lui aussi à ces grandes «villas avec locaux,» qui inondent les façades urbaines...
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Oran le 26/04/2009
Dilapidation de biens publics
Le maire de Hassi Bounif condamné à 06 mois de prison avec sursis et une amende de 10 millions de Cts La cour d’Oran a confirmé le jugement prononcé précédemment contre le président de la commune de Hassi Bounif dans l’affaire de dilapidation de biens publics à l’issue de laquelle il été condamné à une peine de 06 mois de prison avec sursis et une amende de 10 millions de centimes.
A savoir que cette affaire est survenue après l’implication du fils de l’accusé dans un accident de la circulation alors qu’il conduisait un véhicule communal. Suite à cette décision de justice, il est attendu cette fois-ci la décision de suspension de ce maire de Hassi Bounif qui sera remplacé par un intérimaire.
Entre incivisme et laisser-aller
La Cité El Mouhajirine, une vraie poubelle
Les habitants de l’immeuble El Mouhajirine, au secteur urbain de Sid El Bachir, ex-Plateau à Oran, ne cessent de décrier son insalubrité criarde caractérisée par des immondices qui ont fini par constituer une véritable montagne. Celles-ci sont jetées depuis une année au beau milieu de son esplanade. En cette cité résident près de 200 familles.
Une situation plutôt repoussante avec ces odeurs nauséabondes qui n’est pas été sans porter atteinte à la santé des résidents, en particulier les enfants parmi les plus sensibles et les asthmatiques. Selon les propos d’un membre de la famille Khatir qui y réside depuis vingt ans, «c’est carrément le calvaire. Nous souffrons énormément de l’insalubrité de la cité et toutes ces odeurs pestilentielles. Comme vous voyez, nous avons besoin d’aération. Malheureusement, nous sommes obligés de condamner nos fenêtres». Il ajoutera: «Mes enfants sont devenus asthmatiques depuis une année à cause de ces déchets ménagers qui s’amoncellent. Pour leur soins, je débourse pas mois de 3.500 Da par moins. C’est trop pour moi…». S.M., un autre résident du premier étage de cet immeuble poursuivra : «Les plus affectés par cette situation repoussante, ce sont les habitants eux-mêmes, dont on dénombre quelque 1000. Mais ceux qui sont les plus touchés sont les habitants des étages inférieurs, ceux-là qui respirent toutes ces saletés au lieu d’humer un air frais. Je vous ferais l’économie de certains détails pour ce qui est d’été: C’est infernal ! Tout le monde se cloitre de crainte d’être envahi par les moustiques et autres volatiles». Et d’ajouter: «La responsabilité incombe, pour une grande part, à ceux qui habitent les étages supérieurs, car ce sont eux qui jettent les sachets d’ordures par-dessus leur fenêtres. De quel civisme peut-on parler, quand on voit de pareils gestes ?»
En revanche, M.Abdelkader a porté la responsabilité aux services communaux en disant: «Les bennes-tasseuses de la Commune se contentent d’enlever tout ce qui est sur leur passage, notamment le long du boulevard Adda Benouada, mais ne pénètre jamais à l’intérieur de la cité, alors que cette cité est envahie par des tonnes et des tonnes d’ordures». Dans ce contexte, le représentant de la Division communale de l’Hygiène et de l’Assainissement, au niveau du secteur urbain, impute «cet amas d’ordures ménagères à l’incivisme des résidents», tout en indiquant que les habitants «ont pris conscience après coup, malheureusement, et tentent de porter le chapeau à la commune, sachant que les trois bâtiments demeurent fermés. Il n’est pas possible pour les engins d’y pénétrer. Ce qui est impératif par contre, c’est d’organiser une journée de volontariat pour débarrasser ces immondices. Encore faudrait-il avertir les services concernés pour une programmation d’une journée dans ce sens».
En attendant, ce sont les habitants qui en pâtissent pendant que les uns et les autres se rejettent la balle mutuellement.
Des rêves et des cauchemars
Un ministre a confié à son ami le ministre qu’il a rêvé qu’un train des voyageurs a été muni de nouvelles locomotives supplémentaires multicolores et son ami lui a répondu que l’interprétation de ce rêve n’a rien à avoir avec le Gouvernement dont le nombre de portefeuilles sera élargi d’une façon à ce que n’importe quel ministre ne s’arrête dans cette station qui a suivie les présidentiels.
Un autre ministre a raconté qu’il s’est réveillé d’un rêve juste au moment de l’appel à la prière du « Sobh », dans lequel il s’est vu dans un stade de foot entrain de porter les couleurs jaunes, rouges et verts et entrain d’encourager une équipe qu’il n’est pas parvenu à reconnaître suite aux tapages qui l’entourait et c’est là que sa secrétaire lui répond qu’il s’agit d’un présage indiquant qu’il emportera le portefeuille du ministère de la jeunesse et des sports dans le cadre du prochain amendement ministériel.
Un troisième a raconté qu’il a rêvé q’il était entrain de porter une hache et de creuser un trou dans le jardin de sa maison et qu’il a percuté les conduites des sanitaires et du gaz et n’a trouvé personne pour l’aider à réparer ces pannes. Le ministre était inquiet en cherchant une explication à cette devinette et décidé de recourir à un des vieux de la zaouïa, qui l’a rassuré que la hache est un bon présage et lui a dit que tant que tu es un ministre au Gouvernement, cela est, sans doute, un signe que tu seras transféré au ministère des travaux publics.
Au tout de ce silence sur la composition du staff du nouveau Gouvernement, un ministre a révélé qu’il a trop mangé et qu’il se retournait dans son lit pendant toute la nuit et à chaque fois qu’il se retournait, il regardait la plaque de circulation « stop » qui interdit la circulation. Il s’est posé trop de question autour de ce rêve et une fois qu’il l’a raconté à ses amis, ils l’ont conseillé de voir un monteur d’autoécole et ont évité de lui expliquer qu’il a trop mangé et qu’il est temps qu’il cède sa place aux autres.
De telles histoires ne se sont pas forcément produites mais les ministres font souvent ce genre de rêves ou « cauchemars » à l’approche de chaque remaniement du Gouvernement. Leur état dans cette situation ressemblerait à celui d’une femme enceinte qui n’a pas encore connu la date de son accouchement malgré qu’elle ait enduré la souffrance des contractions 10 fois par jour. Cela s’explique par le fait que le ministre chez nous se prépare uniquement à gagner un poste de responsabilité mais ne se prépare pas à la quitter un jour puisqu’il veut oublier ou prétend d’oublier que si ses prédécesseurs sont restés en place il ne serait jamais responsable et c’est pour cette raison que la plupart d’entre eux en Algérie font l’impossible pour que cette responsabilité ne soit pas accordées aux autres.
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